Vous êtes, semble-t-il, moins présentes dans les filières scientifiques.
Les causes : vos enfants, vos maris, vos parents, votre hémisphère gauche, les barbes blanches, les blouses grises,....
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à l'attention de Martine CARISEY : au titre de l'organisation du colloque le document cité sera téléchargé et mis à disposition. En vous remerciant pour votre contribution et en comptant sur votre présence le 28/29
Rédigé par : cathy buquet | 09.11.2005 à 20:56
Je voudrais signaler les résultats d'un colloque qui s'est tenu à Paris les 9 et 10 janvier 2004 sur "l'attractivité des filières scientifiques et techniques" co organisé par les associations ASPERT et FEMMES et SCIENCES. La première journée avait pour thème "jeunes et métiers de la recherche : vous avez dit désaffection ?", la seconde journée "Filles et garçons : des carrières vous attendent." Les actes sont en ligne sur le site www.aspert.net. Voir notamment les recommandations d'ASPERT (pages 14 à 20) : adapter l'enseignement supérieur aux métiers de la recherche, assurer la reconnaissance socioprofessionnelle du jeune chercheur, élargir la formation du chercheur, sortir la rcherche de son isolement, concevoir un nouveau fontionnement de la recherche.
La crise mondiale des sciences est une crise paradoxale. En France, jamais le citoyen ne s'est autant intéressé à la science (salle comble aux nombreux séminaires/conférences pour le profane), la pression aux concours de la recherche publique est toujours forte. La crise est une crise de confiance envers le politique et l'industrie, sur les notions de risques et de danger. Les conditions d'exercice des métiers de la recherche publique sont repoussantes : or on sait que l'on n'attrape pas les mouches avec du vinaigre...
Rédigé par : Martine CARISEY | 09.11.2005 à 16:29